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La communauté de l’intelligence artificielle a bien fait ses devoirs (Le Devoir, 2 décembre 2017)

Il m’apparaît important de répondre au texte « Les menaces technicistes de l’intelligence artificielle » signé par Marie-Claude Goulet et publié dans vos pages le 25 novembre dernier. D’abord parce j’y suis mentionné à plusieurs reprises. Mais surtout parce que je désire corriger l’impression voulant que les chercheurs qui conçoivent les intelligences artificielles le font sans tenir compte des éventuelles conséquences sociales et des enjeux éthiques de cette nouvelle technologie.
La communauté de l’intelligence artificielle de Montréal s’impose d’ailleurs elle-même ce « Devoir de philo ». Par exemple, à l’Institut de valorisation des données (IVADO), où je suis directeur scientifique, nous avons recruté un éthicien, Martin Gibert. Et au MILA, nous menons plusieurs collaborations de recherche avec le professeur de philosophie de l’UQAM Dominic Martin. Nous travaillons également de près avec nos collègues de la Faculté de droit de l’UdeM, notamment les professeurs Catherine Régis et Vincent Gautrais, pour réfléchir aux enjeux juridiques liés à l’IA.
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Ce contenu a été mis à jour le 2 décembre 2017 à 22 h 06 min.